Dimanche 1er Août
Tout d'abord la Galerie dans son état actuel. Voir photos
Visite des parents D'Annie G. Lui a 79 ans et est ingénieur agronome. Son épouse a 74 ans. Ils sont à l'heure. Très sympas, curieux, ça fonctionne vraiment bien.Tour du territoire. Apéro Pineau des Charentes. Voir photos ci-dessous Ils m'invitent au resto après l'apéro. Au St Gilles à 13h25 .Le père commande une bouteille de Saumur
Je rentre et me tape 30 seaux (J'en suis à plus de 9 tonnes) de boues puis repart chez Valérie. C'est OK pour passer le 13 août à Moircy avec Flo et Cie. Jipé commence sa terrasse
La mère d'Annie me fait penser à Line Renaud. Ils vont écouter un concert du Juillet musical. Ils ont beaucoup d'humour. Très belle rencontre
Lundi 2 août
Mon chauffagiste me propose un radiateur 3 éléments pour la Galerie. Environ 600 euros. C'est OK
Puis dans les étangs. Je veux arriver aux 10 tonnes
Invité à Pécrot chez Bedeur. Y étais allé en 1996 de chez NL et avec elle, qui a fait obstruction de toutes les manières, jalouse notamment d'une chanteuse de jazz, noire, que je ne connaissais même pas. Vraiment pénible
Mardi 3 août
11.152Kgs de Boues
Je vais chercher mon Imprimante Epson au Studio Ray à Libramont puis passe chez Valérie après être allés faire des courses ensemble au Delhaize. Un gag à la caisse. Une jeune caissière se trompe sans arrêt; je regarde donc sur son écran ce qu'elle inscrit, lorsque je m'aperçois qu'elle me compte mes cigarillos à 267 euros au leu de 7 euros. Je réagis évidemment. Elle appelle une autre caissière qui vient corriger et lui dit "je me demande où tu es allée encore mettre ton doigt, mais c'est ton affaire" et j'ajoute "Oui c'est vrai et d'ailleurs cela ne nous regarde pas" (imitant Les Inconnus). La dame, pourtant assez coincée sourit. Valérie derrière moi rit comme une bossue. J'apprends ensuite que la caissière de secours est la mère de la fille
Mercredi 4 août
Je m'exerce à l'imprimante en scannant et en imprimant de vieilles photos de moi prises par Isabelle N. en 1998 "Le Gitan". Voir ci-dessous. Je précise que je ne suis pas encore connecté à Internet
Une carte de José Bedeur. Voir plus bas
Jipé a coupé ses poutrelles de terrasse trop courtes; Il est allé en rechercher de nouvelles , mais casse sa remorque. Valérie est au bord de la crise de nerfs
Il faut que j'aille aux 70 ans de José Bedeur d'autant plus qu'il est venu à mes 60 ans
Décès d'Henri Cartier-Brfesson à 95 ans
Vendredi 6 août
Retour à l'Imprimante mais j'ai pas mal de problèmes. Téléphone à mon photographe qui me l'a vendue mais il craint d'avoir trop de monde au magasin. Merci !
Nous sommes en pleine canicule
Samedi 7 août
Violent orage à 5h00 du mat. Je coupe l'électricité. Rallume en me levant mais il n'y a plus de télédistribution et il y a des coupures continuelles d' électricité. Rétablissement à midi. Retour des orages vers 16h00
Je suis à Jamoigne vers 16h50, vais voir Maryvonne Collot qui expose à l'annexe. Constant et Volkenaer (peintre et prof à St Luc) arrivent de Liège avec beaucoup de retard. Ils exposent dans leur Galerie Monos, Bram Bogart. Je leur dis que j'en ai acheté un à Guy Denis pour 225 euros. Ils me disent que ce n'est pas possible, qu'ils veulent voir cette peinture. Constant, lui, a acheté une de mes peintures chez José Strée en 1991
A table avec Maryvonne, son mari et ses parents qui sont d'Orgeo
Je rentre à 1h15
Dimanche 8 août
Malgré la fatigue je sors encore 36 seaux des étangs
Coup de fil de Jean-Paul L.
Lundi 9 août
Ma télé foutue avec l'orage
Marianne Poncelet ici à 16h00. Chaleur torride. J'apprends que le père de sa fille Camille (4 ans) est un romain. Il ne l'a pas reconnue mais la voit de temps en temps
Jacques le père de Marianne a 72 ans. ll a subi un sérieux pontage il y a 2-3 ans. Je vous rassure, il vit toujours en 2016
La Converserie appartient au Baron Coppée
Mercredi 11 août
Une émission "Carré Noir" à la télévision belge "Lettres d'un cinéaste à a sa fille". Un bijou ce film. Le type est belge et relié à Cuba. Il parle de Kafka et d'une expédition dans la Cordillère des Andes
Il s'appelle Erik Pauwels (Voir ci-dessous)
Vendredi 13 août
Flo Hebbelynck, Fréderic Laurent et Justin, ici à 11h30. pour la 1ère fois depuis le 29 juillet 2001.
A 15h30, on s'en va tous chez Valérie. Mais le soir la police me téléphone. Ils ont ramassé Canaille dans la rue. Ma porte d'entrée est restée grand'ouverte, Fred l'ayant mal refermée. Je rentre dare dare. Le combi de la police est devant ma porte et Canaille est sur les genoux de l'un des policiers. Elle dort. Frayeur rétrospective. Et cette porte du Hall grand'ouverte
Delaet a déposé le radiateur
Samedi 14 août
Anne-marie Klenes vient avec ses deux stagiaires. Cédric de Pierpont et sa compagne. Ils resteront 2 heures. Elle est d'Hannut. Je leur joue du Brassens à tous les trois
Dimanche 15 août
Ouverture des J.O en Grèce
A Rossignol au Festival de Jazz. Je dois y retrouver Annie mais personne. En arrivant un choc. Des campeurs ont arrimé leur tente entre mes totems. Je laisse un message avec des cartes postales de mon territoire
Puis je vois Jean-Pierre Bissot et Jean-Pol Schmit, toujours avec Hélène.Tombe ensuite sur Muriel Huberty jamais revue depuis 1994. Elle me montre son 2e fils Tristan, le demi-frère de Cyriaque mais blanc. Elle est en partance pour Nîmes chez des amis
Le frère de Benoit Piedboeuf qui me présente sa compagne, une"Lesuisse" de Vesqueville. Ses parents sont venus à Moircy l'an dernier
Les Neuberg sont là. Aussi Patrick Germain et Jean-Paul Maka et le couple Marx
Alain Schmitz vient me dire qu'Annie est chez Viviane Bechoux dans le village. J'y vais et me retrouve dans une pièce avec 5 femmes dont Annie et Viviane que je connais toutes deux depuis 1993. Il y a aussi Colette grande amie d'Annie, une Air-Hôtesse islandaise, Carmen et une fille de Marbehan, Claudine qui me fait un cirque pas possible
On retourne tous au Festival mais c'est déjà la fin. Claudine me saute au cou veut m'entraîner au bar. Je m'enfuis et vais rejoindre Annie en terrasse jusqu'à 0h20
º 1953, vit à Bruxelles (Belgique).
Les racines du cinéaste, auteur et réalisateur Eric Pauwels remonte à ce qu'il appelle « mémoire du cinéma »: le documentaire ethnographique. C'est où il finit par sortir une fascination pour l'acteur. Après une formation en direction de théâtre, Eric Pauwels a obtenu son doctorat en images de la Sorbonne (sous tutelle de l'ethnographe Jean Rouch). Il est un professeur de cinéma à l'IHECS (à Mons) et de l'INSAS (à Bruxelles).
Pauwels s'est demandé ce qui inspire un acteur et en cherchant une réponse à cette question, il a étudié des rituels des possédés en Indonésie pour deux-et-demi : dans ses propres mots « primitif » théâtre. Ce théâtre primitif n'implique pas les acteurs ou danseurs. Pauwels se réfère à eux comme « actants ». Le « actant » se trouve plus proche de la shaman : il est un danseur, ventriloque, clown, tragédien et son propre orchestre. Dans une tradition où les gens sont familiers avec les rituels et les cérémonies, la « performance » n'est pas l'objet reconnaissante de l'attention. Il y a aussi le public : les spectateurs qui observent les possédés. Comme le temps passait Pauwels sortit progressivement de ce rôle du spectateur et la façon de filmer qui est allé avec elle. Dans ses vidéos de danse, il crée une nouvelle relation entre lui et son sujet. Corps/danse, danse/cinéma. Ces deux dimensions sont retrouvent souvent ensemble dans l'histoire du cinéma : le corps comme souvenir/mémoire, l'image de l'écriture (écrire avec la lumière). Vérifier, poursuivant, tournage est toujours un acte assimilé avec un double objectif. D'une part c'est un acte de mémoire : un enregistrement afin que nous puissions rappeler ce qui s'est passé. En revanche, c'est une tentative de renouvellement dans l'écriture elle-même. Danse de tournage signifie souvent traitant de cette contradiction : affichage de la performance dans sa dimension chorégraphique, dans sa durée ; mais aussi réécrire le corps de la danse dans le mouvement de la caméra dans le montage. Filmer le corps, son architecture et son mouvement, son énergie et en outre la relation cet organe se développe avec le spectateur : cela signifie être confronté une fois de plus avec les questions fondamentales du cinéma. Une question est présentée au spectateur (comment filmer, danser, vivre cette danse?) et aussi pour le démonstrateur (comment passer / convertir la chorégraphie et l'énergie du corps?). Sujet principal est toujours l'être humain, son corps, la substance et la peau. Cinéma de Pauwels se caractérise par une attitude humaine, yeux dans les yeux avec l'événement en direct et unique qui se déroule devant la caméra. Le œil, ou plutôt le corps, observant cet événement est sensible, toujours en quête de la bonne distance, le cadre droit. Il pénètre dans un dialogue. Par exemple, Violin Phase (1985), il virevolte la caméra autour du corps d'Anne Teresa de Keersmaeker. Ce que nous voyons, c'est pas la structure chorégraphique géométrique et minimaliste, mais une possédée, se baignant dans la sueur, explorant les limites de l'épuisement physique. Un solo en deux mouvements : la danse et la caméra. Quatre prend sans interruption. Pauwels est constamment à la recherche de l'essence, l'âme du cinéma. En sa présence explicite la caméra est également entraînée à son extrême, la transpiration, la contrainte. Pauwels ne craint pas de beaux clichés, mais avec l'enquête. Avec Improvisations (1986), il réalise une plan-séquence d'une improvisation de Pierre Droulers à la musique de Thierry de Mey. La caméra se trouve contre l'inconnu, explore l'espace et du corps qui se déplace dans cet environnement. Il est devenu une bataille, parfois un dialogue, parfois une réprimande. Trois danses hongroises de Brahms (1990) a le même début : Pauwels participe à chaque danse. La différence est que pour cette production tout a été minutieusement préparé. Rien n'a été laissé au hasard. Le cinéaste et les danseurs passent par eux ; la caméra fait des mouvements brusques. Cette manipulation de la caméra et le jeu avec avant et arrière-plans crée une tension entre l'arrangement et la spontanéité, entre arrêts et libre circulation, entre l'énergie congelée et la vue dégagée.
Une des questions les plus importantes pendant le tournage d'un film consiste à déterminer la distance du sujet. Réponse de Pauwels à cette question: l'élimination de cette distance : il devient un sujet parmi les sujets. Cinéma et vie coïncident. À côté des vidéos de danse Pauwels est allé faire ses documentaires. Ou plutôt, son « demi-film ». Parce que la ligne de la frontière entre réalité et fiction est souvent tordue. Un exemple de ceci est Un Film (1986). Trois personnes (3 acteurs : Josse De Pauw, Patrick Legrand, Michèle-An De Mey) passent les derniers jours de l'année qui traversent le paysage de Flandre et la côte de la mer du Nord. Legrand fonctionne comme un cameraman : il filme le voyage avec un bruit de crécelle caméra super 8. Le couple, les agriculteurs, lui-même. Pendant le tournage, les rôles sont inversés : le cameraman est filmé. L'enregistrement cède la place à la fiction. Le rapport objectif se transforme en une histoire subjective. Une chose semblable arrive dans Lettre à Jean Rouch (1993) ou dans la Lettre d'un cinéaste à sa fille (1999). La façon dont il va de pair avec les interprétations de souvenirs, des souhaits, des faits et propres associations fondent dans l'autre, jusqu'à ce qu'aucune possibilité objective ne soit laissée par rapport à ce voyage, jusqu'à ce qu'il devienne clair quelle langue filmée veut parler Pauwels.
Lundi 16 août
Yves Piedboeuf et Florence Lesuisse en visite ici de 16 à 20h00. Elle revient du Guatemala et avant cela, elle a passé 3 mois en Pologne. Lui, part faire des croquis de paysages en Toscane pendant 10 jours. Il a parlé de moi avec José Strée son collègue à St Luc
Mardi 17 août
Lieve au téléphone. A vu NL à l'Aca et a fonçé droit sur elle pour lui dire bonjour pour éviter de nouveaux malentendus. NL lui a paru bizarre
Axel Merckx remporte une médaille de bronze aux J.O, ce que son père n'a jamais fait
JP Collignon au téléphone; Il s'est remis avec Lily et a fait connaissance de l'écrivain Caroline Lamarche
Mercredi 18 août
Un article sur Julos Beaucarne
Une lettre de José Bedeur qui parle de Canaille et de sa fille Delphine
Voir ci-dessous
Le menuisier Maquet me téléphone. Il me mettra le même parquet que celui qu'il vient de placer chez la belle-fille du Baron de Fierlandt .Ouh là, là !!
Je découvre le soir dans l'Avenir du Luxembourg, l'article de Patrick Germain sur Rossignol "Réunion de famille. Rarement vu une telle concentration d'artistes de toutes disciplines : Vancau, Palix, Servais et les autres. ça aussi cela fait du bien, SACRE VANCAU, VIEUX PIRATE AU COEUR D'OR..." Voir ci-dessous
Jeudi 19 août
JP Collignon à la gare de Libramont à 11h45. On prend un verre au Lion rouge et puis ici jusque 18h00; Il n'était plus venu depuis le vernissage du 31-8-2003
Un article sur le Directeur de l'Aca d'Eté. Voi ci-dessous.
Vendredi 20 août
Coup de fil d'Attila-Alain Mercenier. En a marre de l'Hérault, revend sa maison de Clermont -Ferrand et part au Burkina Faso. Son ami Guy Denoel me rapportera ma peinture qu'il ne peut emmener là-bas, car elle mesure 2m50 sur 1.25. Ignore comment il va survivre. part avec sa femme. Sa fille a 21 ans et lui 52
Justine Henin, gagne la finale olympique de tennis contre Amélie Moresmot
Dimanche 22 août
A 15h20, je retrouve Annie à Florenville pour aller à Chassepierre. Du monde, des gens de la famille d'Annie puis tout à coup j'entends" Christian"!!, c'est Anne-Julie la fille de NL et son compagnon Vincent et leur chien Simbad. Puis je croise Mady Gaillet et son compagnon, le guitariste Philippe Catherine. Annie veut dire bonjour à Mady mais celle-ci reste immobile. Annie lui dit "Tu ne me reconnais pas?"et Mady lui répond "Si, si mais il y a des relations que je ne désire pas développer"
Lundi 23 août
Le menuisier m'apporte des échantillons du "Yellow pane" le futur parquet. Magnifique. Voir ci-dessous
Ensuite arrivée de mon chauffagiste Delaet que je surnomme Van Gogh parce qu'il lui ressemble
Mon chauffagiste a terminé à 14h00: 652 euros. On prend un verre dans l'atelier et je lui joue "La mauvaise réputation" de Brassens. Il y a plein de guêpes et je vois Canaille qui recrache une guêpe vivante mais apparemment elle n'est pas piquée
Le soir chez Valérie qui n'en sort pas avec le travail de Renaud en Histoire : 1789. Je lui dis que je tâcherai de lui faire une synthèse. Renaud s'en fout, il part chez des copains. Scénario ridicule et classique de nos jours
Mercredi 25 août
Ai rêvé du Procureur Bourlet (Affaire Dutroux). Nous prenions un verre en terrasse à Neufchateau et je lui montrais des photos de Moircy. L'incroyable c'est que cela se passera réellement en 2013, mais à l'Auberge du Prévost, au Fourneau St Michel. Nous ferons connaissance, discuterons de mon problème cardiaque et nous nous reverrons par la suite après un spectacle de theâtre à Tenneville
Je travaille le traitement de texte sur mon ordi et téléphone à Valérie qui me passe Renaud. Car Valérie me dit depuis tout un temps qu'elle m'aidera pour l'ordinateur mais une fois de plus je ne vois rien venir. Renaud m'explique
Message téléphonique d'Aurore qui était partie en vacances "J'espère te revoir un jour"
Jeudi 26 août
Ayant encore de problèmes avec le traitement de texte, je téléphone à France Debray qui comme d'habitude n'a pas le temps mais me dit d'acheter une souris avant toute chose. Sa fille a eu des ennuis à Bierset et elle loge chez elle sous les combles
Je vais acheter une souris à Neuvillers et je parviens finalement à imprimer sur mon Word
Vendredi 27 août
Mon asssurance télévision me couvre pour 800 euros
Je continue à m'exercer au traitement de texte et essaie de terminer un texte d'Histoire pour Renaud mais il disparaît ou ne s'imprime pas. Je m'acharne et j'y arrive, sans Valérie qui n'en revient pas de mon acharnement et me dit "Tu crois que tu vas apprendre en 2 jours, moi il m'a fallu des mois" Evidemment si elle m'aidait ça irait peut-être mieux
Cerami le galeriste a déménagé à Couillet. Voir ci-dessous
Une photo de Thierry Dechambre de Bastogne, le mari d'Anne Bourdon, amie de Valérie. Il est prof à Bastogne
Une carte géo de Pecrot où José Bedeur habite et qui deviendra célébre avec son déraillement de train. Voir ci-dessous
Samedi 28 août
Mon imprimante se bloque. Bourrage de papier. J'arrache des lambeaux et l'imprimante refonctionne
Je commence à scanner de vieilles photos argentiques et je les imprime sur du papier ordinaire
Annie G. est à la Cité Radieuse près de Thionville, chez Dany Octave qui habiterait dans l'immeuble du Corbusier
Je suis chez Valérie à 16h00 pour le texte de Renaud que je remets à Valérie. Puis on va en terrasse
Dimanche 29 août
Je continue à numériser à mort Mais problème. J'ai un clavier luxembourgeois et les accents circonflexes et les tiraits ne s'impriment pas sur Word. Il me faudrait acheter un logiciel belge
Bernard Mottet devient chef d'édirions à l'Avenir du Luxembourg. Voir article ci-ddssous
Lundi 30 août
Je demande au menuisier Maquet de me faire une marche en bois pour entrer dans la galerie. Il passera demain
Mardi 31 août
Un petit mot d'Annick Blavier qui m'envoie une interview de Jacques Derrida "Je suis en guerre contre moi-même"
Un article sur l'aquarelliste Henri Bontemps
Les fils Maquet viennent placer le plancher. Ils ont terminé à 14h00 et on fait le tour du jardin. C'est génial. Mais ils ne connaissent les noms d'aucun arbre bien que menuisiers et vivant en lisière de forêt (Bougnimont). Hallucinant !
Je prépare le voyage à Liège avec Lieve qui a lieu après-demain. Chez JRP à Cortil et à la Galerie Monos. Rendez-vous avec Nicolas Volkenaar dont j'ai vu l'expo à Jamoigne
Pour la Galerie il ne reste plus que les éclairages
Bien que je lui ai signalé que j'avais acheté une souris, je n'ai aucune nouvelle de France Debray. Elle n'a d'ailleurs pas encore vu les travaux
Canaille est piquée par une guêpe, près du museau. La vétérinaire me dit de regarder si ça gonfle. Ce ne sera pas le cas mais elle sera tétanisée toute la soirée et j'ai dû la porter dans ma chambre à coucher. Des guêpes, il y en a partout
Un entrefilet sur FOURNIRET