Mardi 1er novembre 2005
J'ai 68 ans ce soir et Geai s'en va à 7h00 du matin en me disant "Ce n'est pas un cadeau de t'avoir rencontré"
Rentrée chez elle, elle me téléphonera "Je suis vraiment un cas". Elle va chez la psy, jeudi
Valérie et Jean-Paul me souhaitent mon anniversaire
Les moutons sont revenus. Je vais trouver Clarenne et l'engueule copieusement. Qu'il répare la clôture et vite !!!!
Chez Valérie à 17h30. Elle m'offre un Dvd de James Dean
Mercredi 2 novembre
C'est l' hydroxyde de fer qui produit les ocres dans le Vaucluse
La seule certitude dans votre vie c'est votre mort
Jeudi 3 novembre
Le prix du Jury Jean Giono à Armel Job de Bastogne. Voir ci-dessous
Vendredi 4 novembre
Lee Miller expose au Musée de la Photographie à Charleroi
Elizabeth « Lee » Miller, née le à Poughkeepsie dans l'État de New York aux États-Unis et morte le à Chiddingly (en) dans le Sussex de l'Est en Angleterre, est une photographe américaine et un modèle.
Biographie
En 1925, Lee Miller entreprend des études de théâtre et d'arts plastiques à l'École des beaux-arts de Paris puis à New York à partir de 1927, où elle pose pour des photographes, dont son père et aussi, Edward Steichen ou George Hoyningen-Huene. Elle travaille comme mannequin pour le magazine Vogue.
En 1929, elle quitte l'Amérique pour Paris et fait la connaissance de Man Ray avec qui elle vit et auprès de qui elle apprend le métier de photographe. En 1930, elle s'établit à son compte. Elle interprète le rôle de la statue dans le film de Jean Cocteau Le Sang d'un poète. Lee Miller quitte Man Ray et revient à New York en 1932 où elle ouvre son propre studio. La galerie Julian Levy organise sa première exposition personnelle. Deux ans plus tard, elle épouse Aziz Eloui Bey, un riche homme d'affaires égyptien et ils s'installent au Caire. Elle photographie alors le désert et des sites archéologiques, et produit une photo connue Portrait of Space.
Lors d'un voyage à Paris en 1937, elle fait la connaissance de l'écrivain surréaliste anglais Roland Penrose. « Penrose avait séduit Lee en Cornouailles et à Mougins en 1937, l'avait poursuivie à travers les Balkans en 1938, conquise en 1939 avec « The Road is Wider Than Long » en Égypte, enlevée et ramenée à Londres via Antibes au début de la guerre ». Elle fréquente le groupe des surréalistes et devient un modèle pour Pablo Picasso qui réalise de nombreux portraits d'elle.
En 1940, Lee Miller travaille à Londres pour le magazine Vogue. En 1942, elle devient correspondante de guerre au sein de l'armée américaine et ses reportages et photographies sont publiés dans Vogue. De 1944 à 1946, en équipe avec David Sherman, photographe du magazine Life, elle suit l'armée américaine depuis le débarquement en France jusqu'en Roumanie, en passant par l'Allemagne, l'Autriche et la Hongrie. Elle témoigne de la vie quotidienne des soldats et découvre les camps de concentration de Buchenwald et Dachau. Ses photographies, dont celle de deux soldats ouvrant en pleine clarté un camion rempli de cadavres entassés, sont les premières à révéler le concret de l'horreur des camps. Il lui faudra écrire à Vogue et certifier que les clichés sont authentiques pour que le magazine les publie. Elle fait également alors avec David E. Scherman, correspondant de Life, l'une de ses plus célèbres photos, son autoportrait prenant un bain dans la baignoire personnelle d'Hitler dans son appartement privé au 16, Prinzregentenplatz à Munich.
En 1946, avec Roland Penrose, Lee Miller rend visite à Max Ernst et son épouse Dorothea Tanning, en Arizona. Penrose et Lee Miller se marient l'année suivante, en Angleterre et ont un fils Anthony. De 1948 à 1973, elle poursuit son travail pour Vogue Magazine et ses photos illustrent les ouvrages de Penrose, Picasso et Antoni Tàpies. En 1949, Lee Miller s'installe avec son mari à Farley Farm House (en) dans le Sussex en Angleterre. Elle meurt dans sa résidence d'un cancer en 1977.
Son fils, Anthony Penrose, a fondé les archives Lee Miller dans le Sussex et a publié plusieurs livres sur la vie et l'œuvre de sa mère.
Expositions
- Galerie nationale du Jeu de Paume, d'octobre 2008 à janvier 2009.
- Centre national de l'audiovisuel, mars 2011 à octobre 2011.
- Vienne, Albertina, 8 mai 2015 au 16 août 2015.
- Imperial War Museum, exposition sur le travail de Lee Miller durant la Seconde Guerre Mondiale, 15 octobre 2015 au 24 avril 2016.
Un article sur AlainSchmitz, son projet de Containers et son Festival de Chassepierre
Et une nouvelle fois, l'écrivain Olivier Adam fait parler de lui avec son dernier livre "Falaises"
Olivier Adam, né le à Paris, est un écrivain français.
Biographie
Olivier Adam grandit dans l'Essonne, avec ses deux frères ; son père est employé de banque. Après des études de gestion d'entreprises culturelles à l'université Paris-Dauphine — où il rencontre sa future compagne Karine Reysset et mère de ses enfants, écrivain — il devient d'abord consultant pour conseiller des collectivités locales dans leur politique culturelle, puis participe à la création des Correspondances de Manosque en 1999, avec Olivier Chaudenson. Il travaille ensuite brièvement dans l'édition, où il est directeur de collection aux éditions du Rouergue.
Son premier roman, Je vais bien, ne t'en fais pas, publié en 2000, obtient la reconnaissance de la critique. Il est sélectionné pour le Festival du premier roman en 2001. Dès son troisième roman, Poids léger, en 2002, et l'achat des droits par Jean-Pierre Améris pour en faire une future adaptation (qui sortira en 2004 sur les écrans), il peut se consacrer entièrement à l'écriture.
À la suite d'une rencontre avec Geneviève Brisac, il écrit parallèlement des ouvrages pour la jeunesse, et anime des ateliers d'écriture en milieu scolaire.
En 2004, il obtient le Prix Goncourt de la nouvelle pour son recueil Passer l'hiver.
En 2005, il quitte la région parisienne pour la Bretagne, pour habiter à Saint-Malo, ce qu'il évoque dans Des vents contraires en 2009. Il revient dans la capitale en 2014.
Son œuvre dépeint des personnages en butte à des crises d'identité, souvent dans des milieux ordinaires de la classe moyenne. Il se dit proche des auteurs qui se sont penchés sur la rupture des individus avec leur milieu d'origine, comme les sociologues Pierre Bourdieu et Didier Eribon, ou l'écrivain Annie Ernaux. Olivier Adam affiche également dans ses écrits son admiration pour la culture et les paysages du Japon, pays où il fut écrivain lauréat en 2006, en résidence à la Villa Kujoyama, à Kyōto.
Il est actuellement édité par Flammarion, J'ai Lu et Points Seuil, et aux éditions L'École des loisirs et Actes Sud Junior pour ses œuvres pour la jeunesse.
Également scénariste, il a participé à plusieurs films : en 2007, à L'Été indien film de Alain Raoust ; en 2009, à Welcome de Philippe Lioret. Il a également participé à plusieurs adaptations de ses romans : Je vais bien, ne t'en fais pas du même réalisateur Philippe Lioret en 2006, Poids léger en 2004 et le téléfilm Maman est folle en 2007, tous deux réalisés par Jean-Pierre Améris, et Des vents contraires, de Jalil Lespert, en 2011.
En 2005 il est sur la liste du Goncourt pour son roman Falaises. Mais c'est Houellebecq qui l'emporte
Il fait à nouveau partie en 2007 de la dernière sélection du Prix Goncourt pour À l'abri de rien, et, en 2010, pour Le Cœur régulier, de la deuxième sélection du Prix Goncourt. Deux ans plus tard, pour son roman Les Lisières, il semble favori, d'après les médias, le magazine L'Express titrant un article « Olivier Adam aux lisières du prix Goncourt »... mais quelques jours plus tard, comme le mentionne le journal Le Figaro : « Voilà déjà une grande surprise : alors que la plupart des médias le voyaient déjà couronné, Olivier Adam ne figure même pas sur la première liste du Goncourt », surprise que reprend en titre L'Express ou encore Le Point.
Il est nommé chevalier des arts et des lettres en 2013.
En janvier 2014, une cinquième adaptation de son œuvre est portée à l'écran, à laquelle il n'a pas participé, le long métrage Passer l'hiver, réalisé par Aurélia Barbet, tiré de la nouvelle « Nouvel An », issue du recueil Passer l'hiver publié 10 ans plus tôt.
La même année, son roman Falaises (publié en 2005) est « librement adapté » en bande dessinée, sur un scénario de Loïc Dauvillier, et des dessins de Thibault Balahy.
Son ouvrage, Peine perdue sort en août 2014 chez Flammarion, et se penche sur vingt-deux personnages d'une station balnéaire de la Côte d'Azur « dont la torpeur triste va être amèrement réveillée par deux événements concomitants : une agression et une tempête, les deux d'une rare violence », comme l'écrit Charlotte Pons dans sa critique du magazine Le Point. L'ouvrage est finaliste du Prix des libraires 2015.
En 2016, son ouvrage La Renverse se penche sur le sort des proches d'un homme politique éclaboussé par un scandale sexuel.
Analyse de l’œuvre
Les romans d’Olivier Adam mettent en scène les thèmes des douleurs familiales, du manque, des identités flottantes, de l’inadaptation sociale, de la fuite et de la réinvention de soi. Ils évoquent également la France « périphérique », en particulier la banlieue parisienne.
Parmi les sources d'influence d'Olivier Adam figurent le sociologue Pierre Bourdieu dont il considère la lucidité brûlante mais aussi Annie Ernaux et Didier Eribon dont les oeuvres ont éclairé ses propres empêchements sociaux.
Ouvrages
- 2000 : Je vais bien, ne t'en fais pas, Le Dilettante.
- 2001 : À l'Ouest, Éditions de l'Olivier.
- 2002 : Poids léger, Éditions de l'Olivier.
- 2004 : Douanes, nouvelle parue dans le cadre de Lille 2004 Capitale européenne de la culture.
- 2004 : Participation au recueil de nouvelles Tout sera comme avant, autour de l'album musical éponyme de Dominique A : la nouvelle « Elle parle à des gens qui ne sont pas là »
- 2004 : Passer l'hiver (nouvelles), Éditions de l'Olivier.
- 2004 : Sous la pluie, L'École des loisirs.
- 2005 : Falaises, Éditions de l'Olivier.
- 2007 : À l'abri de rien, Éditions de l'Olivier.
- 2009 : Des vents contraires, Éditions de l'Olivier (ISBN 9782879296463).
- 2010 : Le Cœur régulier, Éditions de l'Olivier (ISBN 978-2879297460).
- 2010 : Kyoto Limited Express, avec Arnaud Auzouy, Éditions de l'Olivier.
- 2012 : Les Lisières, Flammarion (ISBN 978-2290068489) Prix Breizh 2012
- 2014 : Peine perdue, Flammarion (ISBN 9782081314214)
- 2016 : La Renverse, Flammarion (ISBN 9782081375956)
Une expo d'Edith Bodart qui a exposé à la Fondation (Rouge) à 1320 Nodebais. Vernissage le 9 novembre
Dimanche 6 novembre
Le Maquereau est un poisson qui a toutes les qualités sur le plan Santé (notamment au niveau du coeur). Il est gras mais ce sont de bonnes graisses. Un vrai médicament complet et en plus bon marché. Sa saison c'est en novembre
Dimanche 13
Cultivez l'HYSOPE = Herbe sainte. Forte odeur aromatique entre sauge et thym. Pourtour méditerranéen. Riche en nectar. Glande huileuses dans les feuilles. Bon pour les coliques et les affections respiratoires. Demande sol calcaire et ensoleillé; Excellent expectorant. Bronchites, toux, maux de gorge et ASTHME
En Tisane elle facilite la digestion. En usage externe (lotion) elle est cicatrisante. Apaise piqures, morsures et brûlures. Traite infections de oreilles, de la gorge et des yeux
Interdite aux femmes enceintes
Dimanche 20 novembre
Visite de Cécile Rolin, la soeur de Claude. Je vais la chercher à la Gare. On parlera de son père Henri Rolin qui est passé du libéralisme au socialisme (Sénateur PS) et qui a connu mon pèrs à Londres pendant la guerre 40-45. Il paraît que mon grand-père André Van Cauwenberghe, gynécologue était un fervent partisan de l'accouchement à domicile. C'est lui qui m'a accouché dans notre domicile de Gand rue Van Peene ou rue Neuve du Casino, en 1937
Cécile Rolin oublie toutes ses affaires ici et je dois les lui renvoyer le lendemain. Voir courrier à ce sujet
Un mail de Nicolas Rozier. Willy Dory est entré en clinique au Sart-Tilman à Liège. Je préviens les administrateurs par mail
Anne Stangier m'invite chez elle à Spineux (Trois-Ponts) le 7 décembre
Mardi 22 novembre
Une lettre de mon ancien collègue André Pirard, devenu jésuite et m'invitant aux 50 ans de sortie de Rhétorique. André était aussi mon second de patrouille des Spiroux- à la XXe St Hubert à Cointe. Je n'irai pas à ce banquet, l'expérience de 1976 m'ayant suffi
Ecureuil, cet animal qui me poursuit. C'était mon totem, puis je suis devenu Chef de Patrouille des Spiroux, à la XXe Saint-Hubert à Cointe, puis j'ai été engagé en 1966 dans une Caisse d'Epargne dont l'emblème est un écureuil
Un petit mot d'Anne Géradin, venue en visite ici
Un mail de Jean-Pierre Devresse
Voir ci-dessous
Vendredi 25 novembre
Un mail de Marlène Dorcena
Je téléphone à la Clinique à Willy Dory qui semble s'en être sorti de son opération. Il rentrerait jeudi prochain